Le no life peut être comparé au hikikomori, son homologue japonais, dont la vie sociale est bien souvent pauvre, résultant d’un enfermement quasi perpétuel dans sa chambre pendant de longues durées.

Le fait pour un jeune Japonais de devenir un hikikomori provient souvent d’une honte terrible, d’un harcèlement moral et/ou physique, d’un échec à un examen et surtout d’un profond mal-être dans la société. Considérée comme une alternative au suicide, c’est une pratique fortement implantée au Japon.